WOW, juste WOW. Alors qu’on pensait Team USA imbattable, la vaillante équipe australienne a réussi à faire chanceler le monstre. Les bleus, à vous de jouer.

Après 29-29 au premier quart, on se dit que la bande à Melo va enclencher la seconde pour calmer tout le monde. Bien au contraire, avec un travail monstre de Bogut, l’Australie dominera le deuxième quart 25-20. +5 à la mi-temps pour les Kangourous et on commence à se dire que les bleus ont bien fait de gagner leur match contre la Serbie.

Dans les troisième et quatrième, les États-Unis reprendront le dessus pour finalement l’emporter 98-88. Si l’écart de 10 points laisse penser à une victoire aisée, la vérité du terrain en fut toute autre (Team USA était à +3 au début du 4e). Complètement déchaînés, les Boomers à 300% auront pris à la gorge les Américains dès les premières minutes. Le Big Three maison aura une nouvelle fois fait sa part du travail :

  • Andrew Bogut : 15 points, 3 passes et 1 rebond
  • Matthew Dellavedova : 11 points, 11 passes et 6 rebonds
  • Patty Mills : 30 points à 11 sur 22

Un peu esseulés face à l’armada américaine, ils termineront battus, mais la tête haute.

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Du côté des States, en mode chill malgré la féroce opposition australienne. Ils peuvent dire une nouvelle merci à Carmelo Anthony. Avec 31 points (à 9/15 à trois points), il est devenu le meilleur marqueur all-time des États-Unis. Complètement en feu dans le premier quart, il aura ensuite mis les paniers qu’il fallait. On peut également souligner la grosse performance de Kyrie. Toujours clutch, Uncle Drew aura planté le tir de la gagne. Le même que celui stratosphérique du Game 7 contre les Warriors. Draymond Green et Harrison Barnes auront eu le privilège d’être présents à chaque fois.

Team USA – Australie Rio Boxscore Team USA – Australie Boxscore

Enfin bref, sans la grosse armée, sans fond de jeu, à 50% de leur capacité, et face à des Australiens déchaînés, les États-Unis s’en sortent assez tranquillement. Espérons que la fougue des Wallabies donne des idées à nos bleus. De toute façon avec notre TP en mode « USA ou pas m’en bas les couilles, USA ou pas, Carmelo machin chouette rien à foutre », on peut se permettre d’y croire.

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