Alors qu’ils disposaient tous les deux d’un adversaire initialement, William Gomis et Yanis Ghemmouri s’affrontent finalement à lors de l’UFC Paris. Ainsi, il s’agira de la toute première affiche franco-française de l’histoire de l’organisation. Gomis comptabilise déjà deux victoires à l’UFC, dont une lors de la toute première édition à Paris. De l’autre côté, Ghemmouri fait ses grands débuts dans la grande ligue. Finalement, William Gomis l’emporte via TKO malgré une petite controverse de fin de combat.
Les deux athlètes s’observent quelques instants avant qu’un jeu de kicks ne se lance de part et d’autre. L’avantage d’allonge permet au Jaguar de gérer parfaitement sa distance en début de rencontre. Calme, concentré et surtout sélectif dans son choix de coup, Gomis prend un petit avantage dans le premier round. Ghemmouri semble aborder la seconde reprise de manière plus agressive, ce qui laisse davantage d’opportunités à son adversaire. Le Desert Warrior se fait peur sur une longue tentative de guillotine de son adversaire, mais il ne lâche rien.
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Beaucoup de respect entre les deux athlètes à l’entame du troisième et dernier round. Dos au mur, Ghemmouri sait qu’il perd deux rounds à zéro. Finalement, c’est l’incompréhension sur la fin de combat. Alors que l’on pensait qu’un coup bas était annoncé, l’arbitre signale finalement la fin du combat et un TKO en faveur de William Gomis.
Sous les huées du public, William Gomis est finalement déclaré officiellement vainqueur. Les protestations de Yanis Ghemmouri n’y peuvent malheureusement rien et le Jaguar repart avec une troisième victoire à l’UFC. Après les ralentis, la victoire est déclarée totalement légitime par Michael Bisping.
Le coup de pied lui remonte la coque et tire sur les parties, il s’en plaint et perd le combat. C’est vraiment une erreur monumentale d’arbitrage, quoi qu’en dise Bisping. Dommage.
Le coup lui tire le short et fait bouger sa coquille. En aucun cas il touche directement sa coquille. Bon arbitrage