Le 30 mars dernier, la nouvelle agence antidopage de l’UFC se rendait chez Jon Jones pour un contrôle inopiné. Malheureusement, un agent de la Drug Free Sport International raconte avoir vécu un cauchemar à cette occasion. Jon Jones, éméché selon l’agent de la DFSI, aurait proféré des menaces de mort, en refusant de se soumettre au test dans un premier temps. Crystal Martinez avait fait le choix de ne pas en rester là après cette mésaventure. De son côté, Jon Jones nie la version de cette dernière. Ainsi, un procès se tiendra dans 30 à 45 jours. Jon Jones risque une peine de prison s’il est déclaré coupable.
Une nouvelle fois, Jon Jones va ainsi comparaître devant un tribunal. Si l’athlète est reconnu coupable, alors il risque une peine de prison de moins d’un an. Du côté des amendes, l’athlète encourt jusqu’à 1500 $ s’il est reconnu coupable des deux délits mineurs qui lui sont reprochés.
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Côté sportif, Jon Jones est supposé faire son retour début novembre après la blessure qui le tenait à l’écart de la compétition. Malheureusement, cela est sans compter les drôles de messages qu’il a publiés puis effacés il y a peu…
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