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Andrew Tate avoue sa peur avant son combat face à Chase DeMoor : l’influenceur humilié

Andrew Tate a afronté la réalité brutale de la boxe lors de sa débâcle contre Chase DeMoor à Dubaï. Dominé du premier au dernier round, l’influenceur a avoué sa peur avant le combat dans une déclaration émotive, reconnaissant ses lacunes et manque d’entraînement dédié.

En bref

  • Adrew Tate a affronté Chase DeMoor en boxe ce 20 décembre 2025.
  • L'influenceur (ancien détenteur d'un titre ISKA) s'est pris une raclée.
  • Il essaye d'expliquer cette défaite cuisante.

Boxe – Andrew Tate avoue sa peur avant le combat contre Chase DeMoor

Une débâcle qui expose les failles d’un influenceur en ring

Le 20 décembre 2025, à Dubaï, Andrew Tate a découvert la réalité brutale de la boxe professionnelle. L’influenceur controversé, autrefois kickboxeur de renom, s’est présenté au Duty Free Tennis Stadium pour ses débuts officiels en boxe chez Misfits. Face à lui : Chase DeMoor, le champion poids lourd incontesté de la promotion, invaincu avec un palmarès de 5-0. Le résultat ? Une déroute totale. Verdict unanime en faveur de DeMoor après six rounds de domination sans partage.

Mais ce qui intrigue réellement les fans, c’est ce qui s’est passé après le combat. Dans une déclaration émotive publiée le lendemain, Tate a admis quelque chose que peu auraient attendu de sa part : il avait ressenti de la peur avant d’entrer dans le ring.

L’aveu qui change la perspective

Couvert de sang, dominé du premier au dernier round, Andrew Tate aurait pu chercher des excuses. Au lieu de cela, il a choisi la transparence. Dans son allocution, le vidéaste s’est ouvert sur son état émotionnel pré-combat, décrivant cette peur comme une réaction humaine face à l’inconnu. Un aveu étonnant venant de quelqu’un qui s’était présenté comme invincible avant le gala.

« C’est une mise au point de la réalité », a-t-il reconnu, refusant de se dérober à ses responsabilités. Plutôt que de pointer du doigt vers ses préparateurs ou son adversaire, Tate a identifié ses propres lacunes. Car c’est là le paradoxe : malgré des années passées dans la cage en kickboxing, la boxe pure lui échappe. Les fondamentaux ne sont pas là. La défense manque. La gestion de la distance fait défaut.

DeMoor écrase Tate avec une stratégie irréprochable

Chase DeMoor, lui, a fait un travail de professionnel. Dès le premier round, une combinaison d’uppercuts dévastateurs a secoué Tate et établi la hiérarchie. De là, la suite a été une question de contrôle. Le champion de Misfits a étouffé son adversaire sous une pression constante, appliquant les « rough house tactics » typiques du style de la promotion – un combat physique, sans fioritures.

L’absence de KO, malgré la domination totale, suggère que même DeMoor n’avait pas une condition physique optimale pour cette rencontre. Mais honnêtement, cela n’a pas vraiment d’importance. Les cartes de pointage n’ont même pas eu besoin d’être serrées. La décision unanime reflétait la réalité du ring : un combat sans suspense.

Quand les influenceurs affrontent la réalité du combat

Ce qui s’est joué à Dubaï s’inscrit dans un mouvement plus large : l’émergence de l’influencer boxing. Des personnalités comme Jake Paul ont transformé la boxe en spectacle commercial, attirant des millions de spectateurs curieux. Mais Tate vs DeMoor montre les limites du format. On ne devient pas combattant en un claquement de doigts, même avec un passé en combat de combat.

Tate avait promis un retour glorieux, une chance de prouver sa « légitimité de fighter ». Ses fans, nombreux malgré les scandales qui l’entourent, espéraient un succès sensationnel. À la place, ils ont eu droit à une leçon de boxe donnée par un jeune champion qui a appliqué son métier sans état d’âme.

La force dans l’humilité

Ce qui mérite le respect, c’est l’approche de Tate après sa débâcle. Au lieu de hurler au complot ou de chercher des revanche du bout des lèvres, l’influenceur a opté pour l’introspection. Son discours – refusant de se plaindre, affirmant que cette expérience le rend plus fort mentalement – montre une certaine maturité.

« C’est une reality check », a-t-il insisté, reconnaissant l’écart immense entre croire en ses capacités et les démontrer face à un vrai combattant. Pas de déni. Pas de victimisation. Juste un constat : il lui manque des années d’entraînement dédié à la boxe pure pour rivaliser à ce niveau.

Ce que cela signifie pour l’avenir

Reste à savoir si Tate poursuivra sa carrière de boxeur ou si ce sera un simple one-shot promotional pour Misfits. Franchement, après une performance aussi catastrophique, le chemin de l’amélioration semble semé d’embûches. La boxe n’attend personne, et les champions ne font pas de cadeau aux débutants.

Mais une chose est certaine : cet épisode a au moins le mérite de rappeler que même les plus gueulards, les plus confiants, les plus médiatisés peuvent découvrir que la peur est une émotion universelle. Et qu’il y a quelque chose de sain à l’admettre, plutôt que de continuer à jouer un rôle.

Les autres résultats de la soirée

Au-delà du combat principal, Misfits Mania a livré une belle carte. Tony Ferguson a remporté sa confrontation face à Warren Spencer par décision unanime, conservant son titre poids moyens. Neeraj Goyat s’est également imposé contre Anthony Taylor aux points, tandis qu’Amir Anderson a clôturé les festivités avec un spectaculaire TKO au deuxième round face à Joe Laws, achevant son adversaire en 2:43 de combat.

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  1. Dire qu’il y a des gens qui prennent réellement ce clown au sérieux, mdrrr. Je pense que ça en dit long sur l’intelligence moyenne du péon moyen.

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