En ce lundi 17 mars, jour de la Saint-Patrick, la Maison Blanche recevait un invité particulier en la personne de Conor McGregor. Pour rappel, l’ancien champion featherweight et lightweight de l’UFC s’était rendu à l’investiture du président Donald Trump en compagnie des frères Logan et Jake Paul le 20 janvier dernier. De retour à Washington, l’Irlandais était bien décidé à s’exprimer devant une armée de journalistes ayant été sollicités pour couvrir son discours. Par le passé, le prodige de Dublin avait déjà manifesté son intention de débuter dans le monde de la politique en comptant se présenter aux prochaines élections présidentielles dans son pays, notamment pour régler les problèmes liés à l’immigration. Le « Notorious » a visiblement gardé cette idée dans le coin de la tête sans l’envisager sérieusement. Néanmoins, le combattant a, plusieurs fois, fait part de ses idées politiques à sa communauté sur les réseaux sociaux.
Une fois devant les journalistes, Conor McGregor a pris la parole, soulignant ainsi la nécessité pour l’Irlande de conserver une certaine solidarité avec les États-Unis d’Amérique : « Nous considérons les américains comme nos grands frères. Donc c’est important pour l’Irlande d’être un pays paisible, heureux, en prospérité pour les 40 millions d’Irlandais Américains, d’avoir un endroit à visiter, pour retourner à leur maison. Ainsi, on veut que notre relation avec les États-Unis d’Amérique continue et que l’on continue à prendre soin de nos grands frères. Les États-Unis doivent aller chercher leurs petits frères. » Après cela, l’ancien champion de l’UFC a profité de ce moment opportun pour parler d’immigration en Irlande.
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Pour rappel, Conor McGregor avait déjà dénoncé certains problèmes dans la politique de son pays. Devant les journalistes, l’ancien champion de l’UFC en a donc profité pour y revenir : « Je suis ici présent pour mettre en avant des soucis que les gens en Irlande affrontent, qui ne sont jamais mis en avant et évoque. Notre gouvernement a, depuis longtemps, cessé d’écouter les voix des gens ici en Irlande. Et ce sont des temps difficiles. L’Amérique, quant à elle, en a pris conscience. Ce qui se passe en Irlande est une parodie. Notre gouvernement est celui qui ne produit aucune action, qui ne porte aucune responsabilité. Notre argent est utilisé pour régler des problèmes qui ne concernent pas les Irlandais. Le racket de la part de l’immigration illégale fait des ravages dans le pays. Il y a des villages ruraux qui sont envahis. Donc les problèmes doivent être abordés. Et les 40 millions d’Irlandais américains doivent entendre cela. Sinon, il n’y aura plus de lieu pour rendre visite. »
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