Le main event de l’UFC 314 a tenu toutes ses promesses. Les spectateurs présents à Miami ont été les témoins privilégiés de la renaissance d’une légende : Alexander Volkanovski (27-4). Face à Diego Lopes, l’Australien a livré une prestation de champion pour récupérer son titre. De quoi alimenter les débats autour du GOAT des featherweights. Pourtant, malgré ce retour triomphal au sommet de son sport, The Great refuse de se qualifier ainsi. « Si vous me demandez, je dirais Aldo. », a-t-il confié en conférence de presse. Cependant, pour les fans de Volkanovski, les arguments ne manquent pas. 13 victoires pour une seule défaite dans sa catégorie, cinq défense de titres, des victoires sur Max Holloway et surtout sur… José Aldo (32-9). Malgré cela, Volk, toujours humble, insiste :
« être champion aussi longtemps, cela veut dire quelque chose ». En effet, le Brésilien compte huit défenses de titre en comptant son règne au WEC et à l’UFC.
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Dans l’histoire des poids plumes, seulement cinq hommes ont pu toucher la ceinture : Aldo, McGregor, Holloway, Volkanovski et enfin Topuria. Une liste d’hall of famer. Néanmoins, quand on mentionne le GOAT de cette catégorie, Aldo et Volkanovski sont les deux noms qui reviennent le plus. Le deuxième a beau avoir battu le premier dans la cage, il n’en n’efface pas son héritage. « Il a été très dominant en tant que champion. Il faut lui rendre ça. » Max Holloway, quant à lui, semble partager l’analyse de Volkanvoski. « Tant que quelqu’un ne battra pas son record de huit défenses, Aldo reste le meilleur. », explique l’Hawaïen. Néanmoins, depuis ce week-end, The Great a rejoint un cercle très fermé : celui des ex-champions redevenus rois. Un exploit rarissime qui plaide en sa faveur. Quoi qu’il en soit, le débat est lancé. Et vous, de quel côté vous siutez-vous : team Aldo ou team Volk ?
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