L’UFC 281 se déroulera la semaine prochaine, dans la nuit du 12 au 13 novembre prochain. Ainsi, l’événement verra se dérouler de gros chocs tant du côté des hommes que chez les femmes. En attraction principale de la soirée, Israel Adesanya tentera de défendre son titre face à Alex Pereira. Et, même sans ceinture à la clé, un choc sera à observer chez les lightweights. En effet, ce sont deux athlètes expérimentés en la personne de Dustin Poirier et Michael Chandler qui se feront face. D’ailleurs, depuis toujours, il y a un fond de tension entre les deux hommes. Mais, cette fois, les comptes pourront être réglés directement au sein de la cage. Aussi, pour ce duel, Dustin Poirier avoue vouloir prouver des choses face à Michael Chandler.
Ainsi, même sans le titre à la clé, il y aura de véritables enjeux. D’abord, une victoire signifie être en bonne position dans la course à la ceinture. Ensuite, Dustin a des objectifs plus personnels, il souhaite notamment prouver des choses à sa famille. En ce sens, Poirier s’est confié au média « Heavy Sports ». « C’est un énorme combat dans ma carrière. D’abord, je n’ai jamais perdu deux combats d’affilés dans toute ma carrière, même en amateur. Je veux me prouver que j’apprends de mes erreurs. Je retourne travailler, je repars de l’avant. Pas seulement pour moi, je veux prouver à ma famille, aux fans, à ma fille. Vous pouvez tomber, vous relever, et réussir. Alors, ce combat est très important pour moi personnellement. Surtout contre un ancien champion du monde, je veux ajouter ça à mon CV et mon héritage. »
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Au-delà des deux duels cités, l’UFC 281 sera le théâtre de beaux affrontements sur le papier. Dominick Reyes est de retour pour affronter Ryan Spann. Brad Riddell affrontera Renato Moicano dans le cadre d’une belle fermeture de carte préliminaire. Puis, nous assisterons au dernier combat en carrière de la légende Frankie Edgar. Enfin, après une superbe prestation, Weili Zhang sera également de retour. Pour l’occasion, elle essaiera de récupérer la ceinture autrefois sienne des mains de Carla Esparza.
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