Dans quelques semaines, Tony Ferguson fera son retour dans la cage de l’UFC. À 37 ans, l’Américain va tenter d’enrayer un déclin amorcé l’année dernière. Après 12 victoires consécutives chez les lightweights, El Cucuy s’est incliné brutalement à deux reprises, contre Justin Gaethje (par TKO au 5e round) et Charles Oliveira (par décision unanime). Le 15 mai prochain à Houston, lors de l’UFC 262 Tony Ferguson fera face à Beneil Dariush dans un combat qui s’annonce piège.
S’entraînant en boxe anglaise chez Freddie Roach, El Cucuy se dit transformé (via Submission Radio) : « L’année dernière, cela n’avait rien à voir avec les entraîneurs ou quoi que ce soit d’autre. Sérieusement, je prends tout le blâme pour moi, mais les deux défaites que j’ai eues, je vais être réel avec vous : c’était la meilleure expérience d’apprentissage que j’aurais probablement pu avoir, et la meilleure chose pour moi et ma famille. »
« Actuellement, j’ai vraiment faim. Et je n’ai pas eu l’amour du jeu depuis quelque temps. Je vais être réel : je n’ai même pas encore fait de sparring, mais je ressens cette putain de faim juste en étant au Wild Card. »
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« Parlons de Beneil : le gars est un combattant prometteur. Pas un gars prometteur, un vrai gangster. Il fait ce sport depuis longtemps. Il est à Huntington Beach avec Rafael Cordeiro. C’est un gaucher, il est très fort sur le côté gauche. Il est très doué pour mélanger les choses. Alors, c’est pourquoi j’ai mélangé les choses de mon côté. Parce que je suis resté trop unidimensionnel. Lorsque vous êtes trop unidimensionnel, vous commencez à plafonner. »
« J’ai vraiment faim, et je suis de retour. Je suis vraiment de retour, mec. Et je mixe tout vraiment, vraiment bien, mieux qu’un putain de blender. »
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