Au regard de la gravité potentielle de la chose, l’affaire Jon Jones était trop discrète. Contrôlé positif au stéroïde Turinabol le 29 juillet 2017, la veille de l’UFC 214, Jon Jones a perdu gros. Ainsi, sa victoire par KO contre Daniel Cormier a été annulée et il a dû rendre sa ceinture. Déjà contrôlé positif et suspendu pour négligence, Bones pourrait revenir plus tôt que prévu.
Invité du podcast de Bruce Buffer, le Vice Président de la Santé des Athlètes et Performance, Jeff Novitzky, a dit : « Jon Jones a soumis des tests propres les 6 et 7 juillet 2017. Son test positif était le 29 juillet. Une simple recherche Google vous montrerait que cette substance, sa fenêtre de détection, est maintenant passée de quatre à six mois. Donc, il n’y a pas beaucoup de sens que quelqu’un à haut niveau, choisisse d’utiliser ce médicament. Ça a sûrement été utilisé le 7 juillet, ou être entré dans son système après le 7 juillet. Il ne serait pas logique de prendre ce médicament à cause de la fenêtre de détection sur plusieurs mois. Donc, cela me laisse croire, que, c’était probablement dû une ingestion non intentionnelle. »
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« À l’heure actuelle, l’équipe de Jon travaille très dur. Nous les aidons pour déterminer comment cette substance est entrée dans son système. Parfois, ce n’est pas un processus rapide. Ça peut prendre des semaines, sinon des mois de tests de suppléments pour retracer vos étapes. […] Le meilleur scénario serait si Jones peut prouver que cette substance provient de quelque chose qui ne représentait pas un risque élevé « . Dans ces cas-là, certains combattants n’ont pas reçu de suspension de la part de l’USADA…
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