Amanda Nunes reconnaît une certaine rivalité avec Kayla Harrison

MMA – C’est une des raisons de son départ d’ATT. Amanda Nunes reconnaît une certaine rivalité avec Kayla Harrison.

Amanda Nunes est littéralement l’une des plus grandes athlètes féminines de l’histoire du MMA. Aussi, lorsqu’une autre athlète commence à faire parler d’elle, les observateurs se tournent naturellement vers celle-ci. Ici, c’est de Kayla Harrison qu’il s’agit. En effet, cette dernière fait carton plein au sein du PFL et apparaît largement au-dessus de la mêlée. En ce sens, de nombreux fans aiment imaginer cette opposition Amanda vs Kayla. Initialement, Nunes était la seule athlète d’envergure au sein de la prestigieuse « American Top Team ». Seulement, lorsque « Judokayla » a également intégré l’équipe, les choses ont changé. Ainsi, Amanda Nunes reconnaît une certaine rivalité avec Kayla Harrison.

Plus que ça, « Lioness » avoue que c’est une des motivations de son départ d’ATT. Pour « MMA Fighting » et le podcast Trocaçao Franca, elle s’est ainsi exprimée. Elle déclare : « Il n’y avait pas de filles lorsque je suis arrivé à American Top Team. J’étais la première femme à rapporter deux ceintures et faire entrer la division des femmes dans l’histoire. Lorsque Kayla est arrivée, puis Kunitskaya, cela a créé une situation bizarre pour moi parce que c’était mon territoire. Et puis Kayla a commencé à parler. Alors, je me suis dit que je n’étais plus en sécurité sur mon propre territoire. J’étais un peu coincée puis Mike Brown était notre entraîneur à toutes les deux. Si quelqu’un porte le nom de l’équipe, c’est bien moi. Elle aurait dû s’entraîner ailleurs si elle souhaitait m’affronter. »

Ainsi, les langues commencent à se délier progressivement. En effet, Amanda déclarait initialement qu’elle n’avait aucun problème au sein d’American Top Team après son départ de l’équipe. Aujourd’hui, nous avons une vision plus claire de la situation. Prochaine étape pour Amanda Nunes ? Une revanche face à Julianna Pena afin d’essayer de récupérer son titre.