Le BKFC est connu pour son intensité, mais ce qui s’est passé samedi à Manchester a marqué un nouveau sommet dans la violence. Lors de la carte Fight Night organisée au Royaume-Uni, le vétéran Conor « Da Crook » Cooke (5-1) a signé ce qui est sans doute le KO le plus dur de 2025. Face à lui, Stevie Taylor n’a rien pu faire. Le combat semblait déjà mal engagé pour Taylor. À un peu plus de 20 secondes de la fin du premier round, Cooke a touché son adversaire avec une droite dévastatrice. Taylor, visiblement sonné, s’est effondré lourdement sur la toile. Le choc était brutal. Mais ce qui a suivi a glacé les spectateurs.
Allongé au sol, Stevie Taylor a commencé à convulser alors que Cooke restait impassible, figé au-dessus de lui. Très vite, l’équipe médicale est intervenue. La scène, difficile à regarder, a instantanément déclenché une vague d’inquiétude sur les réseaux sociaux. « Est-ce qu’il va bien ? » a demandé un fan dans le commentaire le plus relayé. Le BKFC a répondu rapidement pour rassurer : Taylor a été pris en charge et va mieux. Mais l’image du boxeur à mains nues tremblant au sol a marqué les esprits. « Brutal mais terrifiant. J’espère qu’il va bien. » résume un autre commentaire, largement partagé. Même les amateurs du BKFC, pourtant habitués à la violence du format, ont reconnu la dureté de la scène. Conor Cooke, quant à lui, poursuit son ascension. Il affiche désormais un bilan de 5-1 dans la promotion et confirme sa réputation de puncheur dangereux. Déjà détenteur du titre UK des lourds-légers, il vient peut-être de signer l’un des moments les plus marquants de sa carrière.
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Le KO infligé à Stevie Taylor relance forcément le débat autour du bare knuckle. Certains y voient un retour aux racines du combat. D’autres y perçoivent un risque inutile pour la santé des athlètes. Ce samedi, les deux visions se sont violemment confrontées. Débattons, ce genre de scène est-il le prix à payer pour garantir le spectacle, ou une limite à ne pas franchir ?
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