Le 5 mars dernier, Jorge Masvidal et Colby Covington se sont fait face dans la cage. À l’issue de la rencontre, c’est Covington qui est sorti vainqueur avec une domination nette sur les cinq rounds. Si l’histoire aurait pu en rester là, il n’en est finalement rien, bien au contraire. Peu de temps après cette opposition, « Gamebred » a littéralement attaqué Colby en pleine rue. Ainsi, l’inimitié entre les deux hommes prenait une toute nouvelle tournure. Si les réactions ont été nombreuses du côté des athlètes de l’organisation, le boss de l’UFC n’avait jamais réagi jusqu’alors. C’est désormais chose faite, puisque Dana White a donné son avis sur l’altercation entre Jorge Masvidal et Colby Covington.
Pour le « Pat McAfee Show », Dana a donné son avis sur la situation. Voici ce qu’il déclare : « Je le dis tout le temps, tout d’abord, en aucun cas je ne cautionne la violence. Mes gars qui se battent dans la rue et les m*rdes du genre. Mais d’un autre côté, lorsque vous avez affaire à un gars comme Jorge Masvidal et que vous commencez à parler de sa famille. Écoutez, vous pouvez dire ce que vous voulez de moi, me détester, me trouver laid, peu importe. »
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« Mais lorsque vous commencez à parler de la famille des gens, vous franchissez un cap. Tu parles de la famille des gens et tu sors d’un restaurant, alors tu ferais mieux d’être prêt pour un gars comme Jorge Masvidal avant qu’il ne te tombe dessus. Vous devez comprendre que ces gars étaient amis et partenaires d’entraînement. Donc ils connaissent des détails intimes l’un sur l’autre. Il y a quelque chose appelé le code de l’homme. De nos jours, beaucoup de ces jeunes p*tain de gaffeurs ne le savent pas, mais ils doivent l’apprendre. »
En d’autres termes, difficile pour White de valider le comportement violent de Masvidal hors de la cage. Dans le même temps, il se montre très critique de l’attitude de Colby. En effet, ce dernier ne s’impose aucune limite lorsqu’il s’agit de trash talking. Si cela ne lui a jamais porté préjudice, Gamebred est de l’ancienne école. Qui s’y frotte, s’y pique, demandez donc à Leon Edwards !
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