Après avoir fait de l’UFC une machine à succès et lancé Power Slap, Dana White s’attaque maintenant à un nouveau défi : réformer la boxe. En collaboration avec Turki Alalshikh, il veut structurer ce sport en s’inspirant du modèle de l’UFC. Lors d’un entretien avec FightHype.com, le boss de l’UFC a pointé du doigt le problème majeur du Noble Art. « Par où commencer… Probablement par faire combattre les meilleurs entre eux. On commence par ça. » Dans un monde où les combats les plus attendus mettent souvent des années à se concrétiser, White veut accélérer les choses. Interrogé sur le choc entre Canelo Alvarez et Terence Crawford, prévu pour septembre, il a reconnu l’importance de cet affrontement tout en restant neutre sur le résultat : « Je ne sais pas. Ce sont deux gars qui ont accompli tellement de choses… C’est ce que l’on appelle un super-fight… Je ne sais pas qui gagnerait, mais j’y serais très certainement pour voir le combat. »
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Si Turki Alalshikh est déjà un acteur influent dans l’organisation d’événements de boxe, Dana White ne compte pas simplement reproduire ce modèle. Il veut aller encore plus loin, comme il l’a expliqué : « Turki Alalshikh a beaucoup fait au cours des derniers mois. » Néanmoins, il précise immédiatement que leur approche diffère : « Eh bien, mon modèle est bien différent. Je veux décomposer le sport et le reconstruire depuis les bases, comme nous l’avons fait avec l’UFC. Je suis sur un chemin différent. » White entend restructurer complètement la boxe, en imposant une hiérarchie claire, des combats plus fréquents et des affrontements entre les meilleurs sans négociations interminables. Pour l’instant, il reste discret sur les détails de son projet, précisant : « Je ne vais pas donner de conférence de presse. » Mais une chose est sûre : Dana White veut changer la boxe en profondeur.
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