Jon Jones : « je n’ai jamais pris de stéroïdes »
MMA – Une des ombres au tableau de sa carrière de légende. Pourtant, Jon Jones assure ne jamais avoir pris de stéroïdes.
Lorsque l’on parle des meilleurs athlètes de l’histoire de l’UFC, impossible de ne pas citer Jon Jones. D’ailleurs, si cela ne fait pas l’unanimité, il existe un consensus important pour désigner Jones comme le GOAT de l’UFC. Toutefois, à l’instar du coach de Khabib ou de l’autre légende Demetrious Johnson, certains pointent du doigt le passif de Jon Jones. En effet, le fraîchement retraité a rencontré plusieurs problèmes avec l’USADA, l’agence antidopage de l’UFC. Le 29 juillet 2017, la victoire de Jones face à Daniel Cormier a même été transformée en no-contest après un test antidopage échoué. Malgré toutes ces accusations, l’athlète a toujours nié avoir pris des produits. Après la dernière sortie de Tom Aspinall, Jon Jones assure une nouvelle fois ne jamais avoir pris de stéroïdes. 
Jon Jones et la question du dopage
Tout récemment, Tom Aspinall s’est exprimé sur la question du dopage. Au cours du Ariel Helwani Show, le nouveau champion des lourds a exprimé un avis très tranché sur la question. Pour le Britannique, un athlète pincé pour dopage ne devrait tout bonnement plus jamais être autorisé à combattre. D’ailleurs, Aspinall ne cache pas son dégoût pour tous les athlètes qui trichent avec les risques que cela représente pour les adversaires. Une sortie qui a inspiré une réponse à Jon Jones.
« Les pipelettes le savent très bien, je n’ai jamais pris de stéroïdes. Toutes les preuves sont là. Grâce à ça, j’ai été capable de me continuer à combattre et les règles ont été changées pour tous dans tous les sports. Appelez-moi le game changer. »
Ici, Jon Jones fait référence au fait que les seuils de l’USADA ont été revus à la hausse depuis les polémiques. Autrement dit, les fameux « picogrammes » retrouvé dans le sang de l’athlète ne constituent plus une violation aujourd’hui. La commission athlétique du Nevada et celle de Californie ont adopté le même seuil de tolérance relevé par ailleurs.
