La prochaine défense de ceinture de Kamaru Usman devrait avoir lieu cet été. Pour l’occasion, le champion des welterweights de l’UFC retrouvera une vieille connaissance. En effet, il fera face à Leon Edwards. Les deux athlètes avaient déjà eu l’occasion de croiser le fer par le passé. C’était en décembre 2015, une opposition emportée à la décision par le « Nigerian Nightmare ». Depuis, l’un comme l’autre l’assurent, ils ne sont plus les mêmes et on fait montre d’énormes progrès. Si l’on s’en réfère à leur parcours depuis ces sept dernières années, les deux athlètes ont clairement évolué. D’un côté Usman est devenu le champion incontesté de la catégorie. De l’autre, Edwards surfe actuellement sur une série de dix apparitions sans défaites. Aussi, le champion révèle que sa stratégie ne devrait pas beaucoup changer.
Ainsi, Kamaru Usman ne s’en cache pas, il compte bien lutter dans la cage face au Britannique. Pour « MMA Junkie », voici ce qu’il révèle sans détour :
« Leon Edwards a déclaré que face à lui, je ne serais pas le même striker qu’habituellement. Alors, je vais lui faciliter la tâche. Je vous le dis, je ne le frapperai pas debout. Je viens pour lutter, je vais l’amener au sol, le frapper au visage jusqu’à ce qu’il abandonne. Ne vous attendez pas à ce que je reste debout. Non, je vais lutter, ne vous attendez pas à ce que je le frappe puisque je ne suis pas un bon striker. Je viens pour l’amener au sol et lui frapper le visage. »
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Les déclarations du champion semblent un brin sarcastiques. Plus que ça, il semble même avoir été piqué à vif par les propos de Leon Edwards. Lorsque l’on se souvient de son superbe KO sur Masvidal, Kamaru Usman pourrait bien s’essayer à rester debout malgré tout. En revanche, à la moindre alerte, il ne devrait pas hésiter à faire allègrement usage de sa lutte, son domaine de prédilection.
Pas de date précise pour l’heure, les dernières informations parlent d’une opposition pour le mois de juillet.
En espérant pour Léon qu’il n’y ai pas d’empêchement furtif à ce combat pour le titre.
Avec la malchance qui semble le suivre, tout est possible
Il faut dire et écrire : piqué au vif.
Bien vu !