Nous sommes actuellement en pleine fight week avant le retour de Benoit Saint-Denis dans l’octogone. Dans la nuit du samedi 1ᵉʳ juillet au dimanche 2, BSD affrontera Ismael Bonfim. Tandis que le combat sent déjà la poudre, il pourrait aussi constituer une belle opportunité pour le Français en cas de victoire. Si BSD se rêve champion de l’organisation, son portrait signé RMC mettait également l’accent sur sa situation financière actuelle. Lorsque les athlètes débutent à l’UFC, ils ne touchent en effet pas des sommes mirobolantes. Benoit Saint-Denis a même répondu à la question de savoir s’il était un « smicard » à l’UFC.
La galère dans les sports de combat, BSD connaît. Interviewé par RMC Sport, il révèle avoir commencé avec une bourse de 350 € lors d’un combat en Suisse, à Neuchâtel. Aujourd’hui dans la ligue la plus prestigieuse, Benoit ne touche pas encore d’énormes chèques. En revanche, pas question pour lui d’accepter le terme de « smicard » opposé en interview.
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« Je suis content d’être à l’UFC. La contrepartie, c’est qu’elle reste la plateforme médiatique numéro une. Un combattant un peu malin, qui fait jouer un peu ses réseaux, il peut obtenir des sponsorings que d’autres combattants n’ont pas. Un combattant qui est au Bellator au PFL ou au KSW, logiquement, il n’aura pas les sponsors que l’UFC va accorder, que la visibilité va lui accorder. »
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Putain ! Bonfim va en faire de la pâté pour son chien
Ne sous-estimons pas BSD !
BSD sera dans les choux. Il va exploser en plein vol. Les frères Bonfim sont des tueurs à gages. Dés le premier round, BSD se couchera au sol et implorera sa maman.