MMA – Juste avant son prochain affrontement, Charles Oliveira est revenu sur sa dernière défaite en date, face à Islam Makhachev.

Sur une série de onze victoires consécutives, Charles Oliveira avait défendu deux fois sa ceinture et semblait régner en maître sur les moins de 70 kilos. Toutefois, le 22 octobre dernier, le Brésilien s’est fait destituer de son trône lorsqu’il s’est fait soumettre par Islam Makhachev à Abu Dhabi. Ce soir-là, le titre a changé de main et les cartes ont été redistribuées. Alors qu’un nouveau champion a été couronné, le roi déchu de la division était reparti de l’Etihad Arena avec l’amertume d’avoir connu la défaite pour la première fois depuis près de cinq ans.

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Islam Makhachev : un os

Lors du rendez-vous médiatique de l’UFC 289, Charles Oliveira est revenu sur sa douloureuse expérience face à Islam Makhachev : « Ce n’était pas moi qui ai combattu contre Islam Makhachev. Avez-vous vu ne serait-ce que 10% de moi là-bas ? Je n’étais pas là. Dans le cas présent, c’est un Charles différent. C’est un Charles qui a soif. Le Charles que vous allez voir est celui que vous connaissez, celui qui a faim de victoire, quelqu’un qui se relève, un lion qui chasse. C’est ce Charles-là que vous allez voir. »

https://twitter.com/LaSueur_off/status/1666726788016267265

Beneil Dariush : le défi

Ce samedi 10 juin, Charles Oliveira et Beneil Dariush seront en co-main event de l’UFC 289, à la Rogers Arena de Vancouver. Dans le classement des moins de 70 kilos, les deux hommes occupent respectivement les places 1 et 4. Le gagnant pourrait obtenir une chance au titre de la catégorie, bien que cette hypothèse ne soit pas une formalité. Et pour cause, les deux protagonistes du face-à-face qui aura lieu ce week-end sont en concurrence avec Dustin Poirier et Justin Gaethje, qui doivent s’affronter le 29 jullet prochain.

L’UFC 289 Nassourdine Imavov vs Sean Strickland sera diffusé dans la nuit du 10 au 11 juin, à partir de 2h sur RMC Sport 2 (disponible ici).

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SourceConférence de presse / UFC 289
Crédits photosGetty

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  1. Aymard

    Certes, c’était un sosie qui avait usurpé son physique, sa voix, son style et ses amis et autres membres familiaux.

    Tout est bon à prétexte pour se mentir à soi-même et à autrui.

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