À l’automne 2016, Farès Ziam, jusqu’ici invaincu en quatre affrontements, venait de connaître sa première défaite sur le circuit de l’Europe de l’Est. Pour se refaire une santé, le natif de Vénissieux avait rendez-vous sur le ring du LFC pour faire face à Damien Lapilus, qui avait déjà cinq ans d’expérience derrière lui dans la discipline. Le Parisien s’était déjà illustré dans de nombreuses organisations comme le 100 % Fight ou encore le Cage Warriors, et n’en n’était pas à sa première apparition dans la structure lyonnaise.
La partie commence plutôt mal pour Farès Ziam qui se fait amener au sol une première fois. À l’époque, les confrontations de MMA en France se disputaient dans les règles du pancrace et les coups au sol étaient interdits. Le jeune prodige alors âgé de 19 ans parviendra cependant à revenir sur ses pieds et à bloquer le vétéran du MMA Factory contre les cordes avant de le mettre hors d’état de nuire avec un high kick spectaculaire.
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Après cette victoire, Farès Ziam subira une autre défaite, mais enchaînera les succès sur la scène européenne jusqu’à pouvoir signer à l’UFC en 2019. Cette année-là, le représentant du drapeau tricolore s’inclinera face à Don Madge. Le Français parviendra toutefois à s’imposer face à Jamie Mullarkey et Luigi Vendramini. Si son nouvel échec face à Terrance McKinney a été un coup dur pour le principal intéressé, sa victoire face à Michal Figlak à l’Accor Arena de Paris l’a définitivement remis dans les starting-blocks. Ce samedi 22 juillet, le prodige de 26 ans fera face à Jai Herbert à l’O2 Arena de Londres.
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