Après avoir connu la défaite face à Dustin Poirier à Miami, Benoît Saint-Denis s’est imposé en grappling face à Mark Diakiese à l’ADXC, au Dojo de Paris. Le 28 septembre prochain, le Français sera de retour dans l’octogone. Pour l’occasion, le représentant du drapeau tricolore aura la chance de performer devant le public français. Celui que l’on surnomme « God of War » sera en tête d’affiche de l’Accor Arena de Bercy. Au terme de cette soirée de l’UFC Paris, le Bayonnais croisera le fer avec Renato Moicano. Le Brésilien surfe sur une série de trois succès consécutifs. Dans le classement lightweight de l’organisation, le Français et le Brésilien se suivent et occupent respectivement les places 11 et 12.
Plus que 18 jours avant l'UFC Paris, et Benoît Saint Denis a hâte. 🤩🇫🇷 pic.twitter.com/ivPb9m24J7
— La Sueur (@LaSueur_off) September 10, 2024
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Interviewé par le Quotidien du Sport, Benoît Saint-Denis a parlé du dopage, un sujet qui fâche à l’UFC : « Il est clairement présent. D’une part, l’organisation est privée. Puis c’est une structure américaine. Les Américains sont beaucoup moins regardants sur cet aspect. » Au cours de cet échange, le Bayonnais a également fait des comparaisons avec la France, un pays qu’il décrit comme plus vigilant et plus à cheval sur les contrôles : « C’est une chance. » Le représentant du drapeau tricolore a aussi évoqué l’exemple de Jon Jones, dont l’une des victoires face à Daniel Cormier a été supprimée à cause d’un test à une substance illicite : « Il a été contrôlé plusieurs fois positif. Pourtant, il reste la superstar du MMA américaine. »
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