L’UFC faisait sa 1ère apparition en France il y a tout juste un an. Cette dernière fut historique à tout point de vue. Une performance parfaite des combattants français et une ambiance exceptionnelle. Toutefois, la seconde édition s’est montrée à la hauteur des attentes de l’organisation. En effet, les résultats des ventes de places et l’ambiance tout au long de la soirée démontrent le succès de cet évènement. Ainsi, l’UFC place un nouveau record d’affluence pour son retour en France.
Alors que la soirée s’est déroulée pour le mieux pour le public et les athlètes français, l’organisation peut en dire autant concernant les revenus de la soirée. Les résultats des ventes de places sont tombés et on peut être sûr que l’UFC a fait un bon choix de revenir sur le sol français. Tandis que les résultats de l’année dernière étaient déjà spectaculaire, l’UFC a réussi à établir un nouveau record pour son retour en France. Une nouvelle fois, l’Accor Arena a fait salle comble. C’est en effet 205 places supplémentaires vendues pour l’UFC Paris 2 pour un total de 4M de dollars récoltés pour l’organisation. Toutefois, la recette exceptionnelle de cette soirée est aussi dû à la hausse des prix des places passant par exemple de 83,70€ pour l’UFC Paris 1 contre 100€ pour l’UFC Paris 2 pour les moins chères.
Les deux éditions de l’UFC Paris ont été un franc succès pour l’organisation. Seulement, un doute persiste pour un retour l’an prochain à Paris. En effet, David Shaw, vice-président de l’UFC, a émis des interrogations lors de la conférence de presse sur cette question. La raison n’est pas liée à l’engouement du public ni à l’intérêt que porte l’UFC à la France, bien au contraire. L’UFC a déjà anticipé les possibles problématiques d’organisation d’un tel évènement à Paris alors que se dérouleront les jeux olympiques et paralympiques en juillet, août et septembre prochain.
Peut-être, est-ce une porte ouverte pour une nouvelle ville française d’accueillir l’UFC l’an prochain ?
Pourtant d’après tous les autres médias, l’arèna était loin d’être pleine contrairement a la première édition.