Conor McGregor est la plus grande star de l’histoire du MMA. Ancien double champion dans la grande ligue, l’Irlandais a marqué l’histoire du sport. S’il était autrefois très actif, le natif de Dublin n’est plus que l’ombre de lui-même. En effet, le Notorious n’a plus performé depuis son revers face à Dustin Poirier il y a trois ans. Bien qu’il ne combatte plus, le Dublinois continue à partager à ses millions de followers ses entraînements en vue d’un retour à la compétition. Enfin, lorsqu’il ne s’entraîne pas, l’ancien du Cage Warriors partage également des moments de sa vie et ses différents voyages aux quatre coins du monde.
Bien qu’il semble avoir la vie de rêve, tout n’est pas tout rose pour Conor McGregor. En effet, ce dernier fait face à de terribles accusations. Le Daily Mail rapporte qu’une femme aurait affirmé au tribunal que l’ancien champion l’avait violée. La victime réclame des dommages et intérêts, arguant que les faits remontent à 2018. La femme explique que l’ancien double champion de l’UFC l’aurait clouée à un lit et violée dans un hôtel de Dublin.
Le deuxième jour de son témoignage devant la Haute Cour de Dublin, la jeune femme a déclaré qu’au moment de l’attaque, elle « s’est figée et ne pouvait ni bouger ni respirer ».
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La jeune femme ajoute également : « La seule chose que je pouvais bouger, c’était ma tête, et je l’ai mordu et j’ai fait de mon mieux pour m’éloigner de lui. J’ai essayé de le pousser, de me tortiller et de faire tout ce que je pouvais […] J’essayais de me battre autant que possible. Il a mis son bras autour de mon cou et m’a étranglée trois fois […] Je n’arrêtais pas de penser que j’allais mourir et ne plus revoir ma fille. Il m’a laissé partir et je me souviens avoir dit que j’étais désolée, car je sentais que j’avais fait quelque chose de mal. Je voulais le rassurer en lui disant que je n’en parlerais à personne pour qu’il ne me fasse plus de mal ».
L’affaire est toujours en cours.
Encore une pauvre pute qui veut surfer sur la vague et se faire du pognon, il y en a marre de ces femmes délatrices qui ruinent des vies pour rien, en attendant que l’affaire soit jugée, il est inutile d’en parler, lasueur bientôt qu’un vulgaire journal de bonne femme.