MMA – Le Brésilien Paulo Costa s’en prend ouvertement à l’UFC.

Paulo Costa est un ancien prétendant au titre middleweight de l’UFC. Vaincu par Israel Adesanya, le Brésilien a traversé une rude période avant de connaître à nouveau le succès. Aujourd’hui, Paulo Costa ne se cache pas et critique ouvertement la gestion de l’UFC. Loin d’avoir la langue dans sa poche, le Brésilien critique régulièrement l’organisation américaine sur ses réseaux.

Une histoire de contrat :

L’UFC l’a annoncé sur ses réseaux sociaux, le Brésilien devrait prochainement affronter l’ancien champion middleweight de l’UFC, Robert Whittaker. Si l’affrontement promet d’être intense, Paulo Costa nie avoir signé le contrat pour affronter l’Australien. Ainsi, l’ancien challenger mondial affirme sur son compte Twitter : « Franchement, je demande à l’UFC de me montrer où est ma signature sur ce contrat inexistant. C’est une véritable fake news ».

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Un affrontement difficile à organiser:

S’il nie avoir signé le contrat, l’UFC pourrait quand même essayer d’organiser la rencontre. Néanmoins, en conflit ouvert avec la compagnie américaine, le Brésilien pourrait être difficile à convaincre. Par ailleurs, lorsqu’il accuse l’UFC d’organiser son prochain combat sans son accord, l’ancien prétendant au titre mondial remet en cause la gestion mais également l’organisation de la compagnie.

Que pensez-vous de la situation du Brésilien à l’UFC ?

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Sourcelowkickmma
Crédits photosInstagram - Paulo Costa

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  1. Aymard

    D’abord Paolo Costa conteste et récuse l’idée qu’il ait donné son accord pour le combat contre Robert Witthaker et demande à l’UFC de lui produire le contrat sur lequel il aurait apposé sa signature. Les mots on un sens et le terme « nié » est inapproprié en la circonstance.

    Costa étant sous payé par l’UFC dont les dirigeants lui témoignent un manque de respect et de considération patents, et étant à un combat du contrat le liant à l’organisation, il est parfaitement compréhensible que le combattant exprime à la fois sa colère et son mécontentement à propos des dirigeants de l’UFC dont le comportement prête à la critique, notamment en termes de pratique et de gestion des contrats.

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