Après sa victoire sur Daniel Cormier lors de l’UFC 214 en juillet 2017, Jon Jones était contrôlé positif au Turinabol. Suspendu 15 mois par la commission athlétique de Californie, il revenait pour l’UFC 232 en décembre 2018. Lors des contrôles antidopage autour de cet événement, la substance interdite était toujours présente dans son organisme. Il pouvait néanmoins combattre, car l’USADA considérait qu’il avait déjà été suspendu pour cela. En effet, selon l’agence antidopage américaine, le produit présent dans son organisme était un reliquat de ce qu’il y avait lors de l’UFC 214.
En marge de l’UFC 235, rebelote. Les deux tests antidopage effectués les 14 et 15 février 2019 sont ainsi revenus positifs au Turinabol selon MMA Fighting. Ces résultats ne prouvent pas que Jones a réinjecté la substance interdite, il peut donc combattre. Depuis son contrôle positif de juillet 2017, Bones alterne contrôles positifs et négatifs. À chaque fois c’est ce même Turinabol qui fait son apparition. Le métabolite pourrait être présent dans l’organisme de Jon Jones, en quantité minime, pour encore de nombreuses années.
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