UFC – À la fin du premier round face à Dustin Poirier, Conor McGregor s’est cassé le tibia. Son entraîneur John Kavanagh est revenu sur une blessure subie durant le camp.

Pour sa trilogie face à Dustin Poirier, Conor McGregor voyait son adversaire sortir sur civière. C’est finalement l’Irlandais qui a quitté la cage de la sorte, incapable de continuer après une fracture subie en fin de premier round.

Opéré ce dimanche, le Notorious va devoir observer une longue période hors de l’UFC. Son entraîneur principal John Kavanagh est revenu sur le combat (via Instagram). Il était satisfait de qu’il voyait : « C’était fantastique. Je pensais qu’il avait l’air vraiment, vraiment bien dans la cage… Je n’étais pas du tout inquiet. J’étais en fait vraiment, vraiment heureux… À 4m30 ou même 4m45 de la première manche, tout est en place. Je pensais que l’énergie était bonne, la technique était bonne. Quelques ajustements entre le round, et je pense qu’on aurait été en bonne voie pour avoir une finition au deuxième round, ou garder le rythme pour le reste du combat. »

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Reconnaissant toutefois une erreur de la part de son poulain sur le fait d’être allé au sol sur la guillotine, l’entraîneur était dans l’ensemble très satisfait ce qu’il voyait. Il a même félicité l’adversaire du Notorious : « Crédit à Dustin. Il a gagné. C’est une fin de soirée insatisfaisante… Le combat ne semble pas bien terminer. Ce n’est pas bouclé. »

Kavanagh a également évoqué une blessure de l’irlandais durant le camp. Cette dernière aurait pu impacter le combat face à Poirier : « Une petite partie de cette blessure à la cheville s’était déjà aggravée pendant le camp. Nous avons fait un scanner. Cela a-t-il joué un petit rôle dans son aggravation ? Je ne sais pas. Nous étions avec un médecin il y a quelques semaines pour passer un scanner de la cheville… Il y avait peut-être quelque chose. Il semblerait inhabituel qu’un homme jeune, en bonne santé et en forme puisse enrouler son pied autour d’un coude et le casser sans qu’il y ait eu quelque chose auparavant. »

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Crédits photosUFC

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  1. Alain deudeu

    Il faut parler d’autre chose maintenant

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