Dana White dévoile les premières images époustouflantes de l’UFC Maison Blanche
MMA – L’évènement UFC s’annonce grandiose. Découvrez les images inédites du futur show.
Au départ, l’idée semblait complètement folle : un gala UFC à la Maison Blanche. Pourtant, le 4 juillet 2026, la plus grande organisation de MMA investira la pelouse de ce lieu chargé d’histoire. Pour l’occasion, l’UFC compte bien mettre les petits plats dans les grands. Côté combattant par exemple, Conor McGregor a affirmé qu’il y affrontera Michael Chandler. Côté spectacle, Dana White a dévoilé les premiers visuels du projet lors d’un passage sur Fox News. Et le moins que l’on puisse dire est que les rendus sont extrêmement alléchant. On y découvre l’octogone posé devant la Maison Blanche, encadré de grands écrans, sous une immense arche lumineuse. Dans un autre plan, on peut voir une fan zone devant le Washington Monument, qui accueillera des écrans géants pour les fans. Pour rappel, cette carte annoncée comme monumentale coïncidera avec les 200 ans de l’indépendance des États-Unis.
Énorme spectacle, public restreint
Dana White le promet : « Tout le décor en arrière-plan, ce sera la Maison Blanche. Il y aura 85 000 personnes, avec des écrans géants. On va faire des concerts, on va prendre le contrôle de D.C. toute la semaine. » Néanmoins, la foule dans l’enceinte principale sera très limitée. Interrogé sur ce point, Dana White a précisé lors du podcast Impaulsive qu’environ 5 000 personnes seulement seront autorisées à assister aux combats depuis la pelouse. Et encore, ces spectateurs ne seront pas choisis par l’UFC. Enfin, le boss de l’UFC insiste : « L’important, ce n’est pas la taille du public. Il y aura moins de 5 000 personnes. Je m’en fiche qu’il n’y ait qu’une seule personne, et que ce soit lui. Je ferai ça sans foule, vous voyez ce que je veux dire. Être sur la pelouse de la Maison Blanche, avec la Maison Blanche en toile de fond, ça m’est égal. » En outre, pour lui, l’aspect symbolique du lieu dépasse tout enjeu d’ambiance. À ses yeux, ce n’est pas une question de volume sonore, mais d’image.