Dans la nuit de ce soir à demain, se tiendra le 4e show de la saison 2022 du PFL. Jeremy Stephens doit livrer son 2e affrontement dans l’organisation. Et lors de cet événement, ce dernier sera opposé à Myles Price. Pour l’heure, l’ancien fighter de l’UFC n’a pris aucun point en raison de sa précédente défaite. Il pourra en gagner entre trois et six selon sa performance. Or, s’il s’incline à nouveau, il repartira une fois encore les mains vides.
Pour la pesée officielle, ayant eu lieu à Atlanta, Jeremy Stephens, arrivant avec le crâne rasé, était le dernier homme à se peser. Celui-ci avait alors la mauvaise surprise de découvrir que son poids ne correspondait pas à la limite fixée à 70 kilos. Il était alors contraint de se déshabiller. L’ancien athlète de l’UFC a également adopté un comportement étrange. Ses pieds n’étaient pas totalement sur la balance, ce qui est considéré comme de la triche. Il réussira finalement à se peser à 156 livres au lieu de 155. Le PFL accorde une tolérance d’une livre à ses fighters.
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À l’UFC, Jeremy Stephens avait aussi eu des problèmes pour ses pesées officielles. Ses écarts sont arrivés lorsqu’il performait dans la division du dessous. Il avait ainsi manqué le poids pour ses affrontements face à Calvin Kattar et Dennis Bermudez. Il n’avait a priori jamais eu de difficultés pour se plier à la limite des lightweights.
Jeremy « Borrachinha » Stephens
Je pense qu’on devrait obliger les combattant à faire les 3 combats suivants dans la catégorie du dessus lorsqu’ils ratent une seule pesée.
Car la pesée doit être le reflet de leur physiologie réelle et non une occasion hyper ponctuelle (de quelques heures seulement pour beaucoup) de réussir a l’arrache d’imposer un gabarit qui n’a rien a faire dans la catégorie de poids inférieure a celle qu’il doit avoir naturellement.
N’oublions pas que ces extrêmes amaigrissements sont préjudiciables a la santé des athlètes pour leur futur.
Ave des problèmes multiples concernant leurs organes internes, ainsi qu’une déshydratation dangereuse y compris pour leur cerveau.
Si on les obligeait a faire 3 combats dans la catégorie au dessus en cas d’échec, tout le monde serait gagnant au final, que ce soit les athlètes pour leur propre santé mais aussi le public qui verrait des combattants en plein forme. Ceux qui ont l’habitude de gratter la limite et de parfois la franchir se retrouveraient alors automatiquement dans leur catégorie naturelle.
Et l’histoire des « 1 pds en plus » c’est ridicule.
Une limite c’est une limite.
Ce manège d’amaigrissement extrême est préjudiciable à tous et au spectacle.