Après que l’aventure UFC ait débuté à Denver en 1993, l’organisation s’était rapidement exportée en Asie, avec un premier show organisé au Japon en 1997. L’expansion s’est poursuivie en Amérique du Sud, avec un premier événement au Brésil s’étant déroulé l’année suivante. En 2002, le leader mondial actuel du MMA avait conquis l’Europe avec une première venue au Royaume-Uni. Il aura toutefois fallu attendre l’année 2010 pour que l’UFC ne vienne traverser l’Océan Pacifique pour débarquer en Océanie. L’organisation avait ainsi monté un premier show en Australie. Dès lors, il ne reste plus qu’un continent à explorer pour l’UFC, en excluant bien sûr l’Antarctique.
L’Afrique compte trois champions de l’UFC à savoir Kamaru Usman, Israel Adesanya et Francis Ngannou. Beaucoup d’autres fighters sont originaires de ce continent, ce qui devrait nécessairement créer de nombreuses potentialités au sein de ce large territoire. Avec le retour progressif du public, l’UFC a pu se permettre de s’exporter à nouveau dans d’autres pays du monde, avec d’autres shows prévus cette année pour la France et le Royaume-Uni.
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À l’UFC, David Shaw occupe le poste de vice-président des relations internationales. Lors de la conférence postérieure de l’UFC 275, ce dernier s’est exprimé sur les plans actuels de l’organisation pour le continent africain. « Pour ce qu’il s’agit de l’Afrique, oui, c’est une destination intéressante. Vous avez vu la NFL parler de certaines choses qu’ils vont commencer à faire là-bas. Nous avons travaillé sur quelques destinations différentes. Sur quelques parties du continent, afin de mieux cerner ce qu’il faut pour organiser un événement là-bas. Mais ce sera pour fin 2023 au plus tôt, je crois. »
C’est donc dans les papiers !
Mais imaginons si les 3 champions concernés perdaient leurs titres entre temps ? :questionnement: