Cela fait désormais quinze ans qu’Anthony Smith consacre sa vie aux arts martiaux mixtes. Arrivé à l’UFC en 2016 après des passages au Bellator ou encore Strikeforce, l’enfant d’Omaha a battu certains des plus grands noms de la catégorie. Sur la liste de ses conquêtes de l’octogone, on retrouve notamment Hector Lombard, Rashad Evans, Mauricio Rua, Volkan Oezdemir ou encore Alexander Gustafsson. Après une défaite face à Magomed Ankalaev en 2022, la recrue du Factory X s’est à nouveau inclinée, face à Johnny Walker, ce samedi 13 mai devant le public de Charlotte, en Caroline du Nord.
Dans une émission de Sirius XM, il a été demandé à Anthony Smith s’il comptait se retirer. Le prodige du Nebraska a alors déclaré : « Non, je ne vais pas tout quitter comme ça. […] Si je me retire un jour, ce sera de deux façons possibles. Je m’effacerai dans l’obscurité et vous serez tous là en mode ‘Bon sang, ça commence à faire longtemps qu’on n’a plus vu Anthony’. Ou bien, je serais expulsé de là à coups de pied, en criant. » Ainsi, l’ancien aspirant au titre des moins de 93 kilos semble encore décidé à aller chercher d’autres belles victoires dans l’octogone.
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Suite à sa défaite face à son adversaire du week-end, Anthony Smith est passé de la cinquième à la septième position dans le classement des moins de 93 kilos. Johnny Walker a quant à lui prit sa place dans le ranking de la division light-heavyweight. Surfant sur une série de trois victoires consécutives, le Brésilien commence tout doucement à se hisser parmi les favoris pour une chance au titre face à Jamahal Hill. Pour l’heure, c’est Jiri Prochazka qui est prévu pour affronter le champion.
ENFIN, j’avais peur d’être le seul à voir que Johnny Walker avait le potentiel CHAMPION.
ENFIN, on va entendre son nom dans des analyses et autres podcasts des nombreux et différents médias que j’ai l’habitude d’écouter.
Certes sa mâchoire fait trembler, certes on a pas vu de JJB pour contrer le potentiel G&P d’un certain Ankalaev..
Pour battre la folie de Jiri, il faut un autre fou comme Johnny (ouais, ouais, faut pas sous-estimé l’anglaise de Jamahal).
Johnny Walker is coming !