Considéré par beaucoup, dont moi-même (si ça vous intéresse), comme le GOAT, Jon Jones a toutefois vu sa carrière entachée par les affaires de dopage. Contrôlé positif avant l’UFC 200 et l’UFC 214, Bones est l’une des nombreuses victimes de l’USADA. Pour son premier contrôle positif en 2016, cela était dû à des pilules érectiles. Pour son deuxième contrôle, lors de l’UFC 214 en 2017 et révélé après l’événement, l’enquête est toujours en cours.
Pour le moment, rien ne dit que le combattant a sciemment pris des produits interdits. À la manière d’Anderson Silva ou Yoel Romero, il a très bien pu être la victime d’une entreprise peu regardante sur la composition de ses suppléments. Pendant son absence et comme on a pu le voir sur ses récentes photos, Jones s’entraîne. Ne pensant qu’a reprendre sa ceinture light-heavyweight, Bones ajoute de nouvelles techniques à son arsenal.
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Interviewé par Luke Thomas, Brandon Gibson, l’un des coachs en striking de Jones, s’est confié sur les progrès de son poulain : « Je pense qu’il y a encore beaucoup de progrès possibles. Jon a la trentaine maintenant, je pense qu’il commence vraiment à développer son pouvoir de KO, nous l’avons vu lors du dernier combat. Auparavant, Jon faisait son travail de démolition petit à petit, il les brisait à petit feu. Les gars n’étaient pas inconscients d’un seul coup. Je pense que maintenant Jon développe vraiment beaucoup de puissance pour les light-heavyweight et il va vraiment commencer à faire dormir les types. »
Lors de son dernier combat, à l’UFC 214, Jon Jones avait terminé Daniel Cormier au troisième round. Sur un head-kick surpuissant, il sonnait DC pour ensuite finir l’affaire en ground & pound. Si Jones venait à revenir et à véritablement développer ce pouvoir de KO alors le potentiel serait effrayant. La catégorie poids lourds lui tendrait alors les bras…
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