Il y a quelques mois, Dana White, le président de l’UFC déclarait vouloir créer une nouvelle ligue. Ainsi, l’Américain a créé le Power Slap. Une ligue consacrée aux gifles. Extrêmement violent, ce nouveau sport ne fait pas l’unanimité. Néanmoins, régulièrement, le président de l’UFC fait la promotion de son nouveau projet dans les médias. Si White se vante de l’engouement que suscite le Power Slap, certains fans sur Twitter ont affirmé que les audiences ne sont plus aussi bonnes et que la ligue boost elle-même ses chiffres.
Si la première émission a connu une forte audience, cette dernière n’a fait que baisser par la suite. Par ailleurs, Michael Wells a souligné sur Twitter que les tweets affichés à l’écran lors de la diffusion de la finale de la Power Slap n’étaient pas vrais. En effet, l’internaute met en avant le fait que les comptes aient été inactifs pendant plusieurs mois. Par ailleurs, lorsqu’ils ont recherché les tweets affichés pendant la diffusion du Power Slap, les fans se sont rendu compte que certains tweets n’existaient même pas. Accusée de booster son projet, Dana White ne s’est pas encore exprimée sur les nouveaux faits qui lui sont reprochés.
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Que pensez-vous du Power Slap ?
Autour de ce sujet (je découvre aujourd’hui cet article):
Dana White affirme lors du post-fight press de l’UFC 288 que les chiffres Rumble et autres médias du Power Slap dépassent TOUS les autres sports non-UFC réunis. Tous?
Un des journalistes présents lui dit que l’info était « doutable ». Je pense que les statistiques des médias peuvent être très facilement faussées, voire manipulées volontairement. Pas forcément sur les consignes de Dana White.
Pourquoi le faire? Pour donner l’impression de succès. Vous voyez le genre? Stratégie de com: on gonfle les chiffres, ça donne l’impression que c’est un succès, et donc les gens s’y intéressent. Mais je crois que ça ne fonctionne pas.
Je lis des tas de commentaires très négatifs sur cette pratique. Moins ces derniers temps. Possible qu’ils fassent aussi du tri pour soigner leur business. Au final, ça revient toujours à protéger un investissement.