Paulo Costa et Marvin Vettori doivent s’affronter ce samedi en main event de l’UFC Vegas 41. Ce fight est très important pour le haut du classement chez les poids moyens. Hier, lors du media day, le brésilien a déclaré qu’il ne pourrait pas faire le poids. Vettori a répondu qu’il voulait absolument ce fight, tout en fustigeant le comportement de Costa.
Les deux hommes ont eu l’occasion d’échanger lors d’un entretien avec Brett Okamoto. Ils ont finalement trouvé un accord oral pour un affrontement en catchweight à 195 lbs. Alors qu’il est à l’origine de cette situation, Borrachinha continue de provoquer son adversaire : « Ne souhaite pas que je sois sanctionné financièrement. Tu dis « oh, si tu ne me donnes pas 30%, je ne t’affronterai pas », mais sois un homme. Sois un homme de paroles et présente-toi au fight samedi »
« Tu es censé faire le poids ! Chaque athlète ici est censé faire le poids », lui a répondu Vettori. « Nous avons tous un moment, ça s’appelle la pesée – peut-être que tu ne le sais pas – où tu es censé monter sur la balance et avoir un certain poids. Nous sommes dans une catégorie de poids. Tu agis comme si tu ne connaissais pas cela. »
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« Et quel poids étais-tu censé faire vendredi ? 185 ? Je me fiche que tu pèses 185, 195, 205… c’est ton choix », a rétorqué Costa. « C’est à toi de voir ».
Face à ce discours lunaire du brésilien, Marvin Vettori a dit en riant : « J’ai l’impression que ce gars est bourré, mec. Tu as bu un peu ? » ; « Pas encore. Peut-être après le fight, je t’inviterai », a répondu Costa.
Il a raison, c’est bien pour ça que le rouquin irlandais qui ne sait que perdre depuis plusieurs années déjà est toujours au sommet de l’UFC, bien protégé par papa White qui ne s’intéresse pas au sportif mais aux dollars que lui rapporte sa serpillière préférée, toute imbibée de whisky…
Il a raison, c’est bien pour ça que le rouquin irlandais qui ne sait que perdre depuis plusieurs années déjà est toujours au sommet de l’UFC, bien protégé par papa White qui ne s’intéresse pas au sportif mais aux dollars que lui rapporte sa serpillière préférée, toute imbibée de whisky…