Assurément, l’UFC 290 est l’une des plus grosses cartes de ces dernières années. Des KO dans tous les sens, des upsets, des performances impressionnantes, le public a été on ne peut plus servi. Le clou du spectacle de la soirée consistait en un duel entre Alexander Volkanovski et Yair Rodriguez. En ligne de mire, l’unification de la ceinture featherweight de l’UFC dont le Mexicain était le champion intérimaire. Finalement, Alexander Volkanovski s’impose via TKO face à Yair Rodriguez.
Face à la qualité des kicks de son adversaire, le champion reste très attentif. Rapidement, Volkanovski parvient à amener la rencontre au sol. Sans solution, Rodriguez est maintenu sur le dos. Dans le second round, le Mexicain tente de maintenir la distance, mais il finit par se faire attraper. De nouveau au sol, Alexander Volkanovski est en démonstration. Dans le troisième round, Yair Rodriguez est plus convaincant, parvenant notamment à toucher debout. Malheureusement pour ce dernier, Volk accélère, contre sur un crochet du droit et termine le travail en ground and pound après un takedown autoritaire.
Grâce à cette nouvelle victoire empreinte de domination, Alexander Volkanovski pourrait devenir le nouveau roi de l’UFC. En effet, si c’est actuellement Jon Jones qui est numéro un, l’Australien est amplement légitime pour ce statut.
J’aurais voulu voir le Taekwondo à l’honneur mais force est de constaté que Volkanovski est le plus grand Featherweight de tout les temps, ce qui me laisse à penser qu’à une certaine époque pas si lointaine, un certain José Aldo semblait indétrônable jusqu’à qu’un européen débarque pour choquer le monde.
Topuria serait-il ce nouvel européen capable d’éteindre le meilleur du moment comme a pu le faire un certain Irlandais ?
Huuum… *Bigdramashow*.
Cette carte était un pur délice.
Je n’ai pas été aussi excité par un UFC depuis des lustres.
Des combats d’anthologie et de la grosse intensité à chaque combat.
Le main card carrément jouissif du début à la fin.
Avec peut être un fight of the year pour Moreno/Pantoja, une espèce d’explication brutale et frénétique, sans pause pendant 5 rounds.
Putain de belle soirée de MMA !!!
La carte était magnifique !