La fin de carrière de Tyron Woodley à l’UFC n’a pas été des plus réussies. En effet, ce dernier est resté sur une série de quatre défaites avant d’être remercié par l’organisation. Par la suite, T-Wood s’était orienté vers la boxe et des combats lucratifs face à Jake Paul. Le grand public retiendra un KO tonitruant subi sur le ring face au Problem Child. Cependant, impossible d’oublier les moments de gloire de l’athlète. Le 30 juillet 2016, il avait infligé un KO à la légende Robbie Lawler dans le tout premier round. Puis, il avait défendu sa ceinture à trois reprises avant de s’incliner face au terrible Kamaru Usman. Aujourd’hui, l’ancien champion de l’UFC se plaint de son salaire.
Invité sur la chaîne YouTube de Demetrious Johnson, Tyron Woodley a eu l’occasion de revenir sur l’ensemble de sa carrière. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ses salaires à l’UFC lui laissent un goût amer.
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« Vous avez DJ et ses 11 titres, mais vous le payez comme Cowboy Cerrone ? Cowboy faisait 350 000 $, il n’a jamais touché la ceinture. Alors, la raison derrière ça, c’est qu’il ne s’est jamais plaint, il prend n’importe quel combat qui lui est présenté. Il se battrait même blessé, même prévenu au dernier moment. Ça ne fonctionne pas avec moi […] Je connais bien les chiffres, je sais combien d’argent fait chacun. Découvrir que je fais autant que Cerrone, cet enf*iré n’a jamais touché une ceinture… »
Heureusement, Tyron Woodley avec les quelque deux millions de dollars obtenus face à Jake Paul.
« Une fois n’est pas coutume » (Josh, comprenez-vous le sens de cette expression ?), cet article est formidablement bien écrit sinon
Je comprends le sens de cette expression, mais comprends-tu de ton côté le sens du mot « ironie » ?
N’essayez pas de vous rattraper. Il n’y a aucune ironie dans votre emploi de l’expression « une fois n’est pas coutume » dans votre article, juste une méconnaissance du français. Et votre équipe de pseudo-journalistes est coutumière du fait. Et là, il n’y a pas d’ironie de ma part, seulement de la consternation.
D’accord, merci professeur