En 2020, Gerald Meerschaert n’avait pas su faire face à l’ouragan nommé Khamzat Chimaev. Il s’était alors incliné pour la deuxième fois de l’année dans l’octogone. Depuis, il a réussi à se refaire une santé en s’imposant face à Bartosz Fabinski, Makhmud Muradov et Dustin Stoltzfus. Ces noms sont moins bien connus du grand public. Ces rencontres lui ont toutefois valu trois arrêts avant la limite et deux Performances of the Night.
Ce week-end, c’est face à Krzysztof Jotko qu’il devra performer, pour son premier duel de l’année. Bien qu’il ait enregistré un total de quatre victoires sur ses cinq dernières performances, le Polonais est absent du top 15 de la catégorie middleweight. Après cinq années passées à l’UFC, des interrogations peuvent apparaître quant aux futures ambitions de Gerald Meerschaert.
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Durant le marathon médiatique de l’UFC Fight Night du week-end, Gerald Meerschaert a affirmé ses nouvelles intentions quelque peu étonnantes : « Mettez-moi sur un modèle Sean O’Malley. Je veux les pires gars possibles pour le plus d’argent possible. C’est pour ça que je suis ici, pour gagner ma vie. Une fois que je serai prêt pour un title shot, alors nous pourrons en parler. En attendant, je ne veux que des remplaçants. »
Il est souvent reproché à Sean O’Malley de surfer sur sa vague en n’acceptant que des duels face à des fighters où l’écart de taille, de poids, ou de niveau est important. Cette méthode n’est cependant pas le meilleur moyen d’avancer dans le classement, et encore moins d’obtenir un title shot. Certains fans ont alors du mal à cerner la logique d’une telle stratégie.
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