En main event du ARES 9, Damien Lapilus était opposé à Amin Ayoub. À la clé de ce duel au sommet, la ceinture vacante de la catégorie lightweight du ARES FC. Par ailleurs, la tension était à son comble. En effet, les deux hommes s’étaient déjà affrontés lors d’ARES 7 et c’est Damien Lapilus qui s’était imposé. Amin Ayoub est bien décidé à prendre sa revanche.
Les deux hommes se cherchent en ce début de rencontre. Ayoub parvient à amener le combat au sol, mais Lapilus se relève. Ensuite, The Walking Dead parvient à infliger un knock-down à son rival qui se relève l’œil en sang. Les deux hommes se rendent coup pour coup dans le deuxième round. La rencontre est extrêmement serrée et dans le troisième round, le rythme ne baisse pas. Les deux hommes sont marqués, mais continuent de faire la guerre dans le quatrième round. D’un côté comme de l’autre, les rivaux ont leurs temps forts néanmoins, The Waking Dead semble le plus entreprenant.Aussi, dès le début du cinquième round, l’arbitre enlève un point à Lapilus pour un coup de genou illégal. Les coups restent puissants des deux côtés à la fin du cinquième round.
Après 25 minutes de combat intense entre les deux hommes, les juges ont rendu leur verdict. Ainsi, le duel se termine sur un match nul. Aucun des deux hommes ne repartira avec la ceinture ce soir. Une telle décision est une première dans l’histoire de l’organisation française.
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Êtes-vous d’accord avec ce jugement ?
Lapilus s’est fait voler. Ayoub a foiré toutes ses tentatives de takedown et Damien lui était largement supérieur en striking.
Surprenant, c’est le mot pour le main event de la soirée.
Ayoub n’a pas démérité et a eu ses temps fort (2e et 3e), mais Lapilus a un coup d’oeil hors paire et se relève facilement face au amenées au sol. Son jab fait mouche a tout les coups, son adversaire ne voyait plus rien en fin de combat. La décision est assez gênante pour l’organisation, il est vrai que sans ce coup de genoux, il n’y avait pas de débat.
10/8 9/10 9/10 10/9 9/9
All day
match nul ? On surfe sur la « hype », on en rerefait un, sounds good for business, ça se tient !