La tenue d’évènements sportifs a été particulièrement compliquée avec l’épidémie de Covid. En effet, des sports comme le basketball ou le football américain ont largement été mis à mal aux États-Unis. Aussi, l’UFC semble être l’organisation qui a le mieux géré la situation. En se délocalisation à la « Fight Island » le temps de quelques évènements, elle a pu assurer le show. En revanche, certains évènements sur le sol américain ont connu des restrictions. La plus marquante d’entre elles a sans doute été l’absence totale de public. Ainsi, si de nombreux athlètes ont regretté cette d’absence, d’autres s’y sont parfaitement faits.
C’est le cas de Robert Whittaker, prétendant numéro un au titre chez les middleweight. Pour « MMA Junkie », il se confie sur cette expérience inédite à l’UFC.
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« Le fait de n’avoir aucune foule, aucun membre du staff, au début c’est un grand choc. Mais personnellement, j’ai aimé les évènements sans public — je me sentais en intimité, je me suis senti bien et calme, j’ai aimé ça. J’aime également les évènements habituels. C’est agréable de rencontrer les fans et de leur offrir la soirée qu’ils désirent, quelque chose pour laquelle ils ont payés. »
En outre, Robert Whittaker semble avoir appréhendé la situation comme il le fait dans la cage. Patient, observateur, il s’est simplement adapté à la situation inédite. C’est exactement ce qu’il fait dans la cage, lorsqu’il affronte des profils d’athlètes complètement différents. Nous verrons s’il sera en mesure de s’adapter au champion lors du match retour. En effet, Robert Whittaker essaiera de prendre sa revanche face à Israel Adesanya le 13 février prochain. Un évènement qui sera l’attraction principale de l’UFC 271.
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