Ce samedi 11 novembre, New York accueillait un nouvel UFC numéroté. Celui-ci mettait à l’honneur Alex Pereira et Jiri Prochazka, qui se disputaient le titre light-heavyweight, mais aussi Tom Aspinall et Sergei Pavlovich, qui se battaient pour une ceinture intérimaire dans la catégorie du dessus. Pour l’occasion, de nombreuses célébrités, telles que Donald Trump, étaient conviées. Plusieurs grands noms de l’octogone ont également répondu à l’invitation. Ce fut notamment le cas de Jamahal Hill, qui était venu voir le duel qui servait à désigner un nouveau champion des moins de 93 kilos. L’Américain fut le dernier détenteur en date de l’or de la division et a été assuré d’être le prochain aspirant.
Dans sa route pour se rendre au Madison Square Garden, Jamahal Hill s’est retrouvé piégé par un groupe de manifestants aux revendications antiracistes. Le mouvement avait beau se vouloir pacifiste, certaines personnes présentes ont gêné la circulation, retardant ainsi l’ancien champion light-heavyweight de l’UFC dans la 47e rue de la 7e avenue de New York. Sur X, la star de l’UFC s’en est pris verbalement aux individus qui auraient bloqué la circulation et a remercié les membres de la sécurité pour l’avoir sorti de cette situation : « Oh non, vous avez bloqué la camionnette avant de commencer à nous attaquer. La camionnette est toujours garée au feu derrière la ligne ! Dieu merci, ils ne m’ont pas laissé sortir ! » Le principal intéressé a ensuite pu être conduit à bon port à bord du véhicule.
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Robbie Lawler, qui aurait également été ralenti pour se rendre au Madison Square Garden de New York, ne partage pas l’avis de Jamahal Hill. Selon Mike Bohn, l’ancien champion welterweight de l’UFC aurait affirmé que les manifestants se seraient retrouvés en danger.
Manifestation antiraciste, hahhaha, vous avez peur de dire que c’est une manifestation pro palestinienne?