Au sommet individuellement, Giannis Antetokounmpo n’oublie pas d’où il vient. Ça lui permet de rester humble.

Prolongé pour 4 ans et 100 millions de dollars en 2016, Giannis Antetokounmpo justifie pleinement son contrat. Cette saison, le Greek Freak tourne ainsi à 27.8 points (54%), 10.4 rebonds et 4.8 passes. Franchise player incontesté des Bucks, il rayonne. En marge du All-Star, le Grec s’est exprimé sur sa folle ascension :

« Je signe les chaussures, parce que les enfants étaient à ma place. Vous ne pouvez pas oublier d’où vous venez. Je sais qu’ils vont essayer de les revendre, mais j’étais ce petit garçon, ce petit gars qui vendait des affaires dans la rue. » 

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« Donc, juste en grandissant, voyant à quel point la vie était difficile pour moi et ma famille, je vais toujours rester humble. Même maintenant, peu importe si j’ai un contrat de 100 millions de dollars ou un contrat Nike de 100 millions de dollars, c’est comme ça que j’ai grandi, c’est comme ça que je traverse la vie. Je ne change pas. » 

« J’étais jeune. Je vendais des choses probablement depuis mes 6 ou 7 ans. J’étais toujours là-bas pour aider ma mère et mon père à vendre des montres, des lunettes, des CD, des DVD, des trucs comme ça. Tout ce sur quoi je pouvais mettre la main. Je l’ai fait jusqu’à l’âge de 17 ans. Mais je le faisais parce que je devais le faire. Il n’y avait pas d’autre option. Si nous ne vendions pas cette nuit-là, nous n’avions pas de nourriture. Ou si nous vendions un peu, nous devions penser à quoi allait servir l’argent : le loyer ou acheter de la nourriture. Ce n’était pas facile. Et c’était il n’y pas si longtemps. Comme il y a cinq, il y a six ans. Ce n’est pas facile à oublier. »

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