C’est le journaliste Ariel Helwani qui a annoncé la nouvelle et elle risque bien d’être dure à encaisser pour certains fighters ayant pris l’habitude de parier. Hunter Campbell a rédigé un communiqué dans lequel il annonce l’interdiction, pour les fighters et les personnes sollicitées pour être dans le coin, de parier sur un événement dans lequel ils sont impliqués. Jusqu’ici, cela est déjà interdit à échelle du sport, mais certaines personnalités de l’UFC auraient eu tendance à ignorer cette règle. Désormais, les choses ont été éclaircies.
UFC just issued this memo to fighters and managers regarding a change in their athlete conduct policy:
— Ariel Helwani (@arielhelwani) October 17, 2022
UFC fighters are now prohibited from gambling on any UFC fight, regardless of if they are involved or not. They can still be sponsored just not allowed to bet at all. pic.twitter.com/6zhuIITxmx
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« Comme vous le savez peut-être déjà, la plupart des États dans lesquels sont organisés des paris sportifs réglementés interdisent aux athlètes de parier sur des promotions ou des événements auxquels ils sont affiliés. De nombreux États étendent également cette interdiction aux équipes d’entraînement des athlètes, aux membres de leur famille et aux autres personnes ayant accès à des « informations privilégiées » concernant les athlètes et leurs événements. Dans certains cas, la violation de ces interdictions peut entraîner des poursuites pénales. Les athlètes sous contrat de l’UFC ne sont pas exemptés de ces interdictions, que les législateurs et régulateurs de l’État ont mises en place dans le but de maintenir l’intégrité de notre sport. »
Cette règle pourrait bien être contraignante pour beaucoup d’amateurs de pari parmi les fighters et les membres des équipes. Au fur et à mesure des années, cette activité était devenue un passe-temps pour beaucoup de professionnels des sports de frappe. Toutefois, l’UFC doit maintenant se conformer à la législation du sport. Et cette dernière impose l’interdiction des paris pour les principaux concernés. Si le leader mondial du MMA veut s’affirmer comme une ligue de sport, l’organisation se doit d’adopter les mêmes contraintes que les autres entreprises sportives.
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