C’est un fait, malgré sa carrière gigantesque, Tony Parker ne sera jamais reconnu à sa juste valeur. Dans l’ombre de Tim Duncan, y compris dans ses meilleures années et désormais lieutenant de Kawhi Leonard, TP n’a jamais eu le calibre superstar outre-Atlantique. Pourtant, le bonhomme est 4 fois champion (2003, 2005, 2007, 2014), MVP des Finales 2007, 6 fois All-Star (2006, 2007, 2009, 2012–2014) et 3 fois All-NBA Second Team (2012-2014). Un CV long comme le bras qui lui garantira une place au Hall-of-Fame une fois les sneakers raccrochées.
Pour sa 16e saison dans la ligue, Parker affiche un net recul statistique. Ainsi, il tourne à 10.1 points (45.8%), 4.6 passes et 1.8 rebond. Il faut remonter à 2001-2002 et sa saison rookie pour voir un tel apport.
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Si cela inquiète un peu et confirme la baisse de régime de la saison passée, TP a toutefois profité de cette campagne pour rentrer dans les livres d’histoire. Ainsi, il a rejoint Jason Kidd, John Stockton et Gary Payton en devenant le 4e joueur à 16 saisons avec plus de 500 points et plus de 250 passes.
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