L’UFC est régulièrement critiquée pour le montant des salaires octroyées aux combattants. Moins de 20% du chiffre d’affaires de la société détenue par Endeavor servirait à rémunérer les fighters de l’octogone. Même la rémunération de certains des champions de l’organisation stagne à 1 million de dollars par combat. Par ailleurs, certains arrivants en viennent même à conserver un emploi parallèle avant de subvenir à leurs besoins. Cette situation a d’ores et déjà fait scandale. Certaines personnalités des sports de combat déplorent ce constat. Néanmoins, Dana White a d’ores et déjà manifesté sa volonté de camper sur ses positions vis-à-vis de la répartition des ressources financières au sein de l’entreprise.
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Sur Instagram, Dana White a de nouveau répondu aux critiques concernant les salaires à l’UFC. Une fois encore, le président de la structure n’y est pas allé par quatre chemins : « Durant des années, les gens nous ont accusés de faire du monopole. Et j’en passe. Nous sommes tout simplement les meilleurs. Il n’y a pas de barrière à l’entrée. N’importe qui est libre de se lancer. Demain, vous pourriez ainsi créer votre propre organisation. Ainsi, vous pourriez payer vos gars comme bon vous semble. » Certaines ligues ont d’ores et déjà convaincu les combattants de signer un contrat chez eux en proposant d’autres avantages à leurs recrues. C’est le cas du PFL, qui propose des primes d’un million de dollars aux gagnants de ses tournois. Certains anciens fighters de l’octogone se tournent également vers la boxe anglaise, où le système de rémunération n’est pas le même.
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