Pourquoi Jon Jones est persona non grata à l’UFC : Dana White met les pieds dans le plat
En bref
- Jon Jones veut toujours revenir à l'UFC
- Dana White ne semble pas digéré la retraite de Jones
- L'événement à la Maison Blanche se referme pour le GOAT
MMA – Dana White ferme (encore) la porte à Jon Jones : un bras de fer qui enflamme l’UFC.
Un nouveau coup de pression médiatique
Dans le podcast Flagrant, Dana White a encore une fois fermé la porte à Jon Jones, confirmant ce qu’il avait déjà affirmé lors d’une récente conférence de presse. 
Le contexte
Jon Jones, ancien champion à deux poids, traverse une période compliquée. Après avoir annoncé sa retraite en 2025, il a rapidement changé d’avis suite à un événement UFC exceptionnel prévu sur la pelouse de la Maison Blanche l’été prochain.
Le point de rupture : Tom Aspinall
Le point sensible de cette rivalité reste le combat contre Tom Aspinall, champion intérimaire des poids lourds. Jones a initialement accepté le combat, avant de se retirer au dernier moment, provoquant la colère de Dana White.
La raison officielle de son refus ? Jones considère Aspinall comme un adversaire qui ne correspond pas à son niveau légendaire, préférant un affrontement contre Alex Pereira.
Dana White : un président inflexible
White ne mâche pas ses mots. Il a clairement exprimé sa frustration face à l’attitude de Jones, soulignant son manque de fiabilité. En contraste, il cite Conor McGregor comme exemple de combattant toujours prêt à relever les défis.
J’avais un accord lui… On avait un accord pour qu’il affronte Tom Aspinall. Et ensuite il a dit : « vous savez quoi ? Je ne vais pas le faire ». Il ne voulait pas le faire. Eh bien, je ne peux pas être dans cette position. Je dois avoir quelqu’un [de fiable].
Un honneur devenu combat politique
L’événement de la Maison Blanche est devenu un enjeu symbolique majeur. Jones veut y participer, le considérant comme un honneur national, mais White a l’air catégorique sur son exclusion. Jones doit donc prouver sa fiabilité. White semble attendre des garanties avant de le réintégrer dans les plans de l’UFC pour des événements majeurs.
Une guerre médiatique sans fin ?
Les analystes sont partagés. Certains pensent que Jones cherche à se racheter, d’autres estiment que sa relation avec White est définitivement compromise.
Le dernier mot
Pour l’instant, Dana White tient bon. Jon Jones reste sur la touche, condamné à prouver qu’il mérite encore sa place parmi les légendes de l’UFC.
