Une organisation veut voler Conor McGregor à l’UFC… à une condition
MMA – Reverra-t-on un jour Conor McGregor enfiler les gants ? Très probablement selon un proche de l’Irlandais… mais peut-être pas à l’UFC.
Conor McGregor (22-6) affirme qu’il est plus déterminé que jamais à revenir. En effet, l’ancien double champion UFC prépare son retour, cinq ans après sa dernière apparition dans l’octogone. La cible ? Michael Chandler avec qui l’historique est connu de tous. Le lieu ? La Maison Blanche pour une carte historique en juillet 2026. Le boss de l’UFC, Dana White se montre optimiste à cette idée. C’est également le cas de David Feldman, président du BKFC. « Je pense qu’il est très sérieux dans son combat de retour. Il va le faire. À moins qu’il ne se passe quelque chose de vraiment incroyable. », affirme-t-il au micro du média MMA Fighting. Pour rappel, le Notorious est copropriétaire de l’organisation de bare knuckle depuis 2024. Et son implication dans cette promotion pourrait bien déboucher sur un combat en boxe à mains nues. Du moins, Feldman l’assure : « C’est vraiment le meilleur Conor McGregor que j’aie jamais vu. On s’est dit : « Tu es presque la plus grande légende de l’histoire du combat, on retourne s’entraîner. » »
Son résultat à l’UFC Maison Blanche conditionnera la suite
Pour le pdg du BKFC, tout se jouera sur la performance de Conor McGregor à l’UFC Maison Blanche. « Je pense que cela dépend de l’issue de la campagne à la Maison Blanche. S’il remporte la campagne, ce que j’ai toutes les raisons de croire, quel que soit son adversaire, il gagnera. Ensuite, ils vont lui trouver le bon adversaire, j’en suis sûr, car ce serait logique pour la promotion. », affirme le dirigeant. En outre, si l’IRlandais gagne, Feldman n’a aucun doute, il enchaînera avec un autre combat. Or, celui-ci pourrait bien être au BKFC. « S’il gagne, s’il fait bonne figure dans ce combat, il en disputera un autre. Si cela se produit, je suis sûr qu’il combattra pour le BKFC. Pourquoi pas ? » Enfin, en tant qu’actionnaire, le combattant jouerait très gros financièrement. « Il sera payé pour ça, car des investisseurs vont venir pour ce combat, et il obtiendra alors une valorisation double, voire triple, pour l’entreprise. C’est une évidence, et tout le monde y gagne. » À 38 ans, il pourrait ainsi faire coup double.