Franchise player des Toronto Raptors, DeMar DeRozan fait aussi face à la dépression. L’arrière s’est confié au Toronto Star.

Au sommet de son basket-ball depuis 2 ans, DeMar DeRozan traverse toutefois une période difficile. En effet, le meilleur scoreur des Raptors fait face à la dépression. « Peu importe à quel point nous sommes indestructibles, nous sommes tous humains. Nous avons tous des sentiments… tout ça. Parfois… ça prend le dessus. »

Titulaire d’un juteux contrat de 5 ans et 139 millions de dollars avec les Raptors, DeRozan confirme les espoirs placés en lui. En progrès constant, il a su pleinement enfiler le costume de franchise player. Rien ne laissait présager cela.

« J’ai toujours des nuits différentes. J’ai toujours été comme ça depuis que je suis jeune, mais je pense que c’est de là que vient mon comportement. Je suis si calme, si tu ne me connais pas. Je reste discret dans un certain sens, dans mon espace personnel, pour pouvoir faire face à toutes les épreuves. » 

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« C’est vrai. Nous sommes tous humains. C’est pourquoi je regarde chaque personne que je rencontre de la même manière. Je me fous de qui tu es. Vous pouvez être la personne la moins importante ou vous pouvez être la plus grande personne au monde, je vais traiter tout le monde pareil, avec respect. »

« Ma mère m’a toujours dit : ‘ne te moque jamais de personne parce que tu ne sais jamais ce que cette personne traverse’. Depuis que je suis gamin, je ne l’ai jamais fait. Jamais. Je me fiche de quelle forme, de quelle taille, de quelle ethnie, de tout. Je traite tout le monde de la même manière. On ne sait jamais. »

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