Savoir combien de Green il y a dans la ligue? Comprendre pourquoi New Orleans Pelicans ça choque personne… Les gars sérieux, PELICANS! Ou juste visiter Denver avec Kobe comme guide touristique? Ne cherche plus tu es au bon endroit, bienvenue dans ce qui deviendra ton rendez-vous hebdomadaire, Garbage time c’est ta dose de NBA !
GOLDEN ST… j’ai pas le droit ? Bon d’accord.
OKC
3 matchs, 3 victoires. Le retour de la faucheuse. KD IS BACK. Et c’est tout OKC qui va mieux. Avoir un MVP qui tourne sur une semaine à 30.3 points, 8.3 rebonds, 3.7 passes et 52% à 3pts forcément ça aide (joueur de la semaine à l’Ouest d’ailleurs). Définitivement le patron de cette équipe c’est lui, le monsieur plus, et Westbrook devra le comprendre si il veut gagner un titre avec « son frère ». Durant semble plus determiné que jamais à aller chercher ce qui lui est dû cette année. Il continue avec cette image de « badass » face aux médias, mais ça c’est parce qu’il ne s’est pas frotté à La Sueur et au Garbage Time parce que je vous assure que si il fait le malin avec moi… Hein ? Je m’emporte ? Il fait 2m06 ? Ah ok désolé, je vais faire des pompes et je reviens.
Plus sérieusement, cette équipe commence à bien tourner et, a sur le papier l’effectif pour bousculer n’importe qui, cette KD dépendance est dérangeante certes mais pas nocive, tant qu’il reste en bonne santé.
SAN ANTONIO SPURS
4 matchs 4 victoires. Dans le Texas les papys font de la résistance, les recrues sont définitivement intégrées et sans faire de bruit les Spurs tournent tranquillement à un bilan de 14-4, 78% au calme. La performance est eclipsée par le 100% des Warriors mais les Spurs c’est LA force tranquille, c’est Tim Duncan qui s’efface pour l’équilibre du groupe, c’est Aldridge qui gonfle moins ses stats, c’est Popovich (futur coach de Team USA) qui est toujours génial.
Alors qu’on avait quelque peu perdu les Spurs l’an passé, syndrome du back-to-back bien connu à Fort Alamo. Ils semblent, comme chaque fois qu’ils se perdent, renaitre de leurs cendres, retrouver une nouvelle jeunesse, se réinventer. La transition est assurée avec Leonard qui impressionne de plus en plus offensivement, il est capable de prendre feu et d’enchainer, et Aldridge qui n’est autre que le fils de la liaison secrète entre Duncan et Robinson. Pour finir ils ont quelque chose qui n’a pas de prix, l’expérience des grands rendez-vous sur une série en 7 matchs ça peut faire la différence (sauf contre le Heat).
https://www.youtube.com/watch?v=YkMkeNwbnUc
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Team Basketball
Danny, Draymond, Gerald, JaMychal, et Jeff ils sont 5. Y’a plus de Green en NBA qu’au Golf (JE SUIS EN FORME. LA BERKANE MVP)
PHOENIX SUNS
4 matchs, 3 défaites. Un pétard mouillé. Une irrégularité inquiétante. Et un peu à l’image des Wizards peut-être de la lassitude ? Eux qui étaient lancés sur un projet qui avait de l’allure avec le backcourt Bledsoe-Dragic passé à deux doigts des playoffs se voient obligés de tout recommencer. Pas à zéro certes mais quand même, les égos ont bousillé le groupe et on sent que ces Suns ont du mal à se comporter en équipe. On en voit un embryon, par intermittence sur certains matchs dans certains moments.
On imagine que Jeff Hornacek saura trouver la solution et qu’avec des joueurs de cette qualité (Knight, Bledsoe pour ne citer qu’eux) les Suns seront au rendez-vous pour la bataille des play-offs même si rien n’est sûr dans cette conférence Ouest toujours plus dense.
Karl Anthony Towns
Je crois que je vais arrêter cette rubrique. Surtout à l’Ouest, il est simplement tout seul. Avec un D’Angelo Russell qui passe plus de temps sur Instagram qu’à la salle de sport, personne ne pourra inquiéter le petit Karl dans cette conférence si ce n’est peut-être Mudiay.
Draymond Green
J’aurai pu mettre Kevin Durant au regard de ses statistiques stratosphériques cette semaine ou encore le chef cuisto des Warriors. Mais j’ai décidé d’attirer l’attention sur « Money Green ». Parce que c’est ma chronique, et que je fais ce que je veux. Il est la clé de voute de ces Warriors « dans le top 10 des meilleurs joueurs de la ligue » selon Jerry West, au four et au moulin il est capable de jouer à tous les postes. Poseur d’écran, danger en périphérie, dans la raquette ou même à 3 points, défenseur acharné il est un CAUCHEMAR pour ses défenseurs. L’intérieur le plus mobile de la NBA. Ses déplacements le libère et il sanctionne ou laisse libre un shooteur qui va punir l’adversaire. Il est intense, élégant, trashtalker, bref déjà tout des plus grands.
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