Pour son premier match NBA, Lonzo Ball a terminé à 3 points (1 sur 6), 9 rebonds, 4 passes (2 TOs). Des débuts compliqués dus à la défense irrespirable de Patrick Beverley. Il faut dire que le membre de la 1ère équipe défensive NBA voulait le scalp du rookie. Dans les vestiaires, il a notamment dit : « Sale faible, ramenez-le-moi sur le terrain, je vais lui déchirer le cul ». C’est plus ou moins ce qu’il s’est passé…
Comme attendu, suite aux différents propos de Lavar Ball au cours des derniers mois, Lonzo risque de connaître quelques mésaventures de ce type face aux meilleurs de la ligue. Le CEO de Big Baller Brand a encore défendu son fils : « Oui, il a bien défendu sur lui (Beverley – NDLA). Et son salaire ne va pas aller plus haut que ce qu’il est. Oui, il a bien défendu sur mon fils. OK… mais qui est Patrick Beverley ? Il a joué toute l’année dernière et personne n’a rien dit de lui. Maintenant nous regardons son premier match. Pourquoi ? Parce que le nom de Lonzo y est attaché. »
Lavar a même dû tenir le regard avec Beverley : « J’ai vu la façon dont il m’a regardé quand il était sur le banc. Il allait voir si je pouvais avoir un contact visuel avec lui. J’ai juste regardé droit à travers lui parce qu’il n’est personne. Tu parles à un Big Baller. »
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« C’est juste un match. OK, il n’a toujours pas sa propre chaussure. Il n’est toujours pas son propre patron. Je sais pourquoi il me regarde, il veut me dire qu’il a tenu mon fils ?… Et bien, j’en ai deux de plus, tu peux essayer de les tenir aussi, ils seront là, ne t’inquiète pas. »
https://youtu.be/wJlsO2-pFFY
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