L’événement le plus attendu de cette édition était certainement la venue d’IAM, qui a rassemblé un public local, ou ayant voyagé de loin pour reprendre les titres de L’École du Micro d’Argent. Parmi les bonnes surprises, l’ambiance détendue du samedi soir sur le set de Paul Kalbrenner, le show rap politiquement engagé de J.I.D. & the Earthgang, les paroles pleines de sens de Moha La Squale, et des Américains déjantés du groupe Ho99o9, sans oublier les shows de Nekfeu, Roméo Elvis et Lomepal.
L’univers de Marsatac est également prenant, de tous les festivals auxquels La Sueur a pu participer, Marsatac fait partie de ceux qui véhiculent une identité. Les décors estivaux sont cohérents, un canard gonflable surplombe toute la foule comme un symbole du festival, on retrouve à certains endroits des bouts de plage, sans que le sable nous empêche de circuler ou vienne embêter nos chaussures. Le thème plage a été retrouvé un peu partout pendant le festival, jusqu’aux glaces et aux sucettes créées spécialement pour l’occasion. Les stands de marques présents sur place permettaient également de proposer des animations et des rencontres entre festivaliers.
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Le parc Chanot permet aux festivaliers de pouvoir circuler, se poser, et de facilement naviguer entre les deux scènes intérieures et la scène extérieure principale. Pour la première année de cette scène extérieure, Marsatac a réussi son pari et confirme son ambition de développer son festival à une encore plus grande échelle.