Quelques semaines après avoir perdu contre le numéro 1 mondial Novak Djokovic à Madrid, Andy Murray retrouvait son meilleur ennemi pour le trophée au Masters 1000 de Rome. Depuis sa première victoire sur terre battue en Masters 1000 à Madrid l’année précédente et sa demi-finale à Roland-Garros, Murray est désormais un gros client.
Après avoir remporté le premier set 6-3, l’écossais mène 40-15 sur le service de Djokovic. Une occasion en or pour Murray de gagner son premier Masters 1000 à Rome. Mis en difficulté par un service de Djokovic puissant au corps, on croit King Andy en difficulté. Nos impressions se confirment alors que le N°2 mondial est baladé aux quatre coins du court. Au moment d’apporter l’estocade finale et fatale, le Djoker se trompe de côté…
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En remportant ce premier Masters 1000 en 2016 et le jour de son 29e anniversaire, Murray commençait sa folle course contre la montre. Après sa Finale perdue à Roland-Garros, il passera définitivement à la vitesse supérieure. Victoire au Queens, victoire à Wimbledon. À Rio, il deviendra le premier homme à défendre sa médaille d’Or aux Jeux Olympiques. Ensute, à Cincinnati (Finale) et à l’US Open (1/4), il connaîtra une petite période de disette. Ce sera pour mieux rebondir et enchaîner 5 titres d’affilée à Pékin, Shanghai, Vienne, Bercy et enfin au Masters. Entre-temps, l’écossais deviendra pour la première fois de sa carrière numéro 1 mondial. À Londres, avec cette fameuse première place en jeu en finale face à Djokovic, il ne craquera pas. Après cette année 2016 tout bonnement exceptionnelle, King Andy sait qu’il devra confirmer en 2017. Entre la jeune génération et le retour des vieux briscards Federer et Nadal, il y aura du travail…
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